Ancêtre de SOCAPALM, la Sopacor (Société des Palmeraies du Cameroun Oriental) est créée par décret présidentiel en 1968.
En 1969 et en 1970 c’est la création respectivement des plantations de Mbongo et Eséka. En 1970, changement de dénomination Sopacor devient Sopame (Société des palmeraies de Mbongo et d’Eséka). En 1974, c’est la naissance de la Société Camerounaise de Palmeraies (Socapalm), et celle la plantation de Dibombari. En 1978, la plantation de Kiénké est créée. En 1982, le magasin de stockage au Port Autonome de Douala voit le jour, et en 1993 l’unité de fractionnement « Mula Palm » est créée. Le 30 juin 2000, c’est la privatisation de la Socapalm par la cession des 90 % des actions détenues par l’Etat au groupement PALMCAM. En 2006, la Socapalm fait l’expérience de l’hévéaculture en la développant à la plantation de Dibombari.
En 2007, les parcelles de la plantation d’Eséka sont sous louées aux Elites de la région sous la dénomination « Villagisation » et en mai de la même année, le magazine d’information « Echos de Socapalm » est né. En 2009, c’est l’entrée en bourse de Socapalm et, une année plus tard en 2010, l’huilerie de Mbambou est construite. En 2011 la Socapalm se lance dans la certification ISO 14001. La Socapalm contribue à l’insertion des jeunes ruraux dans la vie active par l’ouverture en 2014 d’une Ecole Familiale Agricole à Kienké, et, en 2015 pour la première fois, la Socapalm produit plus de 100 mille tonnes d’huile