• 1968 à 1980 : Création de la Socapalm avec 18 000 ha plantés et 4 500 emplois.
    • 1980 – 1990 : Evolution de la production de 23 000 tonnes/an jusqu’à 57 800 tonnes/an en 1990.
    • 1986-87 : Crise économique mondiale : chute brutale des cours mondiaux de l’huile de palme, effets dévastateurs sur la société des palmeraies.
    • 1988 : L’Etat, à bout de souffle, principal pourvoyeur de fonds, conclut des contrats de performances et amène la Socapalm à prendre des mesures de gestion drastiques :
      • Allègement des effectifs (-11%),
      • Réduction des avantages accordés au personnel,
      • Contractualisation de certains travaux, etc.
    • 1993 : Nomination de l’ancien Ministre de l’agriculture au poste de Directeur Général avec pour missions :
      • Un plan de restructuration : diminution de 37% des effectifs,
      • La préparation de la privatisation de la société : l’Etat, unique actionnaire, l’introduit dans la liste des entreprises à sortir de son portefeuille et à céder aux partenaires privés,
      • Création de l’unité de fractionnement (Mula Palm), Nkapa.
    • 2000 :
      • 30 juin :
        • Aboutissement du processus de privatisation de la Socapalm, concrétisé par la signature à Yaoundé de la convention de cession des 90% d’actions détenues par l’Etat du Cameroun dans la Socapalm au profit du groupement Palmcam pour une valeur de 21 milliards de FCFA,
        • Le Groupement Palmcam (constitué d’intérêts nationaux et étrangers), en acquiert 70% avec le portage de 3% des actions réservées au personnel en activité à cette date. L’Etat conserve 10% des parts en garantie des terres exploitées et signe avec Socapalm un bail emphytéotique de 60 ans. Les 17% restant sont destinés à être cotés en bourse.
      • 1er juillet : Palmcam s’installe et l’équipe mise en place entame son nouveau challenge : une restructuration de l’outil de travail tant administratif et comptable que technique et agricole.
    • 2004 : La régénération des plantations est lancée avec un objectif de replanting de 500 à 1 000 ha/an.
    • 2005 :
      • 30 juin : Finalisation du paiement de la réserve sociale des 403 millions FCFA aux travailleurs présents le 30 juin 2000, avec un accord intervenu entre le collectif des délégués du personnel encadré par les syndicats et la Direction Générale pour régler le problème de l’attribution gratuite des 3% des actions du personnel portées par le groupement Palmcam,
      • Fermeture de l’unité de fractionnement Mula Palm à Nkapa,
      • Révision du bail emphytéotique avec l’Etat, qui est réduit de 78 529 à 58 063 ha.
    • Juillet 2006 : la Société Civile d’Investissement du Palmier (Socipalm) portant l’actionnariat des salariés est créée à l’issue d’une Assemblée Générale constitutive.
    • 2007 :
      • L’opération de villagisation de la plantation d’Eséka (environs 2 600 ha) devient effective par la sous-location de toutes les parcelles de la plantation aux élites et populations du Nyong et Kelle,
      • La Socapalm lance également sa démarche Hygiène, Sécurité et Environnement (HSE).
    • 2008 :
      • Diversification au profit de l’hévéaculture,
      • Signature d’un partenariat sur 3 ans avec la Banque de développement allemande (DEG) pour un cofinancement des investissements sociaux réalisés sur les plantations en matière de santé (VIH/SIDA) et éducation.
    • 2009 :
      • 7 avril : introduction de 20,31% du capital à la bourse de Douala,
      • Une fusion absorption partielle de la plantation de la Ferme Suisse débute,
      • Les travaux de construction de la nouvelle huilerie de Mbambou débutent.
    • 2010 :
      • Intégration de la plantation d’Edéa aux plantations de la Socapalm,
      • Renouvellement du partenariat avec la DEG pour une durée de 4 ans.
    • 2011 :
      • La première saignée d’un hévéa a lieu à la Socapalm,
      • Lancement de la démarche de certification ISO 14001.
    • 2008 – 2013 : Près de 200 000 000 de FCFA (301 000 €) sont investis dans les infrastructures sociales des plantations avec l’appui de la DEG.
    • 2013 :
      • Avril : Signature d’un partenariat avec l’Institut Européen de Coopération et de Développement (IECD) en vue de la mise en place d’une Ecole Familiale Agricole (EFA) sur la plantation de Kienké,
      • Juin : Entrée en fonction de la nouvelle huilerie de Mbambou (30 T/h),
      • Novembre : 3 huileries ont été auditées pour l’audit à blanc ou initial ISO 14001:2014 ( Mbongo, Mbambou et Eseka).
    • 2015 :
      • Mars : la Socapalm obtient son certificat ISO 14001:2004,
      • Pour la première fois, la Socapalm passe la barre des 100 000 tonnes d’huile de palme en un an,
      • Juin : La première promotion d’étudiants formés à l’EFA finalise son premier cycle,
      • Création des plateformes de dialogue tripartites.
    • 2015 :
      • Mars : La Socapalm obtient son certificat ISO 14001:2004,
      • Pour la première fois, la Socapalm passe la barre des 100 000 tonnes d’huile de palme en un an,
      • Juin : La première promotion d’étudiants formés à l’EFA finalise son premier cycle,
      • Création des plateformes de dialogue tripartites.
    • 2016 : Création des plateformes tripartites de Dibombari, Kribi (Kienké) et Edéa.
    • 2016 – 2017 : Début des travaux de la révision de l’Accord d’Entreprise Socapalm entre la Direction Générale et les Syndicats des travailleurs et signature du nouvel accord en 2017 qui octroie des avantages considérables au personnel avec, à la clé, des salaires revus à la hausse.
    • 2017 :
      • Mise en œuvre de la politique de gestion responsable du Groupe avec l’accompagnement de EF (Earthworm Foundation),
      • Lancement du nouveau programme de rénovation des logements,
      • Signature du nouvel Accord d’Entreprise Socapalm qui accorde des avantages supplémentaires au personnel avec, à la clé, des salaires revus à la hausse,
      • Installation d’une chaudière à biomasse à Mbongo et d’une nouvelle palmisterie à Edéa,
      • Sortie de la première promotion des élèves de l’EFA de Kienké.
      • Renouvellement du certificat ISO 14001:2004.
    • 2018 :
      • Passage de la certification ISO 14001:2004 à la certification ISO 14001:2015 pour tous les sites,
      • Rencontre entre la Direction de la Socapalm et le Point de Contact National (PCN) belge à Bruxelles, en Belgique,
      • Construction et ouverture de l’école anglophone du village de Mbonjo sur la plantation de Dibombari,
      • Nomination d’une nouvelle administratrice, Mme Audrey EKONGOLO, première femme à tenir ce poste à la Socapalm,
      • La production annuelle en huile brute franchit, une nouvelle fois, un record atteignant 135 641 tonnes,
      • Poursuite du programme de rénovation des logements sur toutes les plantations,
      • En prélude de la certification RSPO, démarrage des études HSC/HVC sur les 6 plantations,
      • Collaboration étroite lancée avec WWF auprès des populations riveraines,
      • Création de la plateforme tripartite à Eséka.
    • 2019 :
      • Nouveau record de production annuelle à 140 349 tonnes d’huile brute,
      • Poursuite du programme de rénovation des logements sur toutes les plantations,
      • En prélude de la certification RSPO, poursuite des études HVC sur les 6 sites de la Socapalm,
      • Nouvelle augmentation des capacités de stockage par 3 nouvelles cuves de 2 000 tonnes à Mbongo, Dibombari et Eséka.
    • 2020 :
      • Nouvelle hausse de la production annuelle d’huile de palme brute qui atteint 145 898 tonnes,
      • Poursuite du programme de rénovation des logements sur toutes les plantations,
      • Soutien au fond spécial de solidarité national dans la lutte contre la Covid-19 avec un don de 50 000 000 FCFA,
      • Août : renouvellement de la certification ISO 14001:2015 pour l’ensemble des plantations,
      • Implémentation des normes et préparation à la certification RSPO dans les plantations,
      • Implémentation du nouvel ERP « Sage X3 » sur tous les sites,
      • Création et réhabilitation de notre outil industriel avec l’agrandissement de l’huilerie à Eséka,
      • Constructions de nouvelles infrastructures sportives au sein des différentes plantations : Eséka, Kienké, Mbambou et Edéa.
    • 2021 :
      • Nouveau record de production annuelle d’huile de palme brute qui culmine à 152 323 tonnes,
      • Mise en place du Département de Développement Durable (DD) avec 1 responsable du DD, 2 assistants chargé du suivi RSPO et ISO 14001 et 1 responsable chargé des relations avec les parties prenantes,
      • Etablissement d’un plan de consultation et d’engagement régulier avec les communautés riveraines,
      • Obtention des certificats RSPO pour 4 des 7 sites (Socaport, Eséka, Mbongo et Mbambou),
      • Mise à jour de la politique de gestion responsable du Groupe Socfin incluant les nouvelles exigences dues aux révisions des standards de certification.
    • 2022 :
      • Les aléas climatiques ont engendré une légère baisse de la production en 2022, s’établissant à 146 232 tonnes d’huile de palme brute,
      • Mise à jour de la politique de gestion responsable du Groupe Socfin incluant de nouvelles exigences et une mise en conformité avec les éléments de la politique de la GPSNR (sustainablenaturalrubber.org),
      • Mise en place des « Réunion Bilans » : des plateformes de discussion avec les riverains présentant les réalisations annuelles et le statut des actions sociales et environnementales réalisées l’année précédente,
      • Obtention des certificats RSPO pour les sites de Dibombari et Edéa,
      • Renouvellement des certificats RSPO pour les sites de Socaport, Eséka, Mbongo et Mbambou.
    • 2023 :
      • Obtention du certificat RSPO pour le site de Kienké. Renouvellement des certificats RSPO pour les sites de Socaport, Eséka, Mbongo, Edéa, Dibombari et Mbambou,
      • Réalisation à 94% des réunions biparties avec les communautés soit 181 réunions conduites sur 192,
      • Renouvellement de la certification ISO 14001:2015 pour tous les sites,
      • Novembre : élections des délégués du personnel avec la nomination des nouveaux délégués pour une période de 2 ans,
      • Réhabilitation complète de l’huilerie de Mbongo,
      • Application de 2 hausses salariales respectivement en février et juillet 2023,
      • Signature de la nouvelle convention collective de travail et de l’accord d’entreprise.