10.06.2021 – de TIJD

 

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Un article publié par De TIJD, le 3 juin 2021, se focalise sur l’industrie de l’huile de palme et certains acteurs actifs en Asie et en Afrique centrale, dont le Groupe Socfin au Cameroun.

Il se réfère à un rapport récent publié par Human Rights Watch sur le secteur des plantations de palmiers à huile en Indonésie et rebondi aussi sur l’article du journal néerlandais de Volkskrant datant du 29 mai dernier.

Suite à la publication de cet article, nous regrettons que le TIJD ne se soit pas rapproché du Groupe Socfin au Cameroun afin de vérifier les propos avancés par de Volkskrant et d’assurer ainsi une information équilibrée et vérifiée à ses lecteurs.

Nous tenons donc à clarifier la situation en apportant les précisions suivantes sur le secteur ainsi que sur la gestion responsable dont fait preuve le Groupe Socfin dans ses opérations :

Le palmier à huile est l’oléagineux le plus productif au monde. C’est d’ailleurs pour cette raison, que l’huile de palme est l’huile la plus consommée, représentant 35% des consommations mondiales alors qu’elle n’occupe que 10% des surfaces plantées.

La certification RSPO assure une production durable de l’huile de palme. Ses principes et critères contribuent à minimiser l’impact négatif que la culture du palmier à huile pourrait avoir sur l’environnement grâce à l’engagement zéro déforestation mais aussi en assurant le respect des droits des employés et des communautés vivant à proximité des plantations.

  • Aujourd’hui, près de 20% de l’huile de palme produite dans le monde est certifiée RSPO ;
  • Fin 2020, le Groupe Socfin avait déjà certifié RSPO 50% de ses usines de production d’huile de palme et vise la certification de 100% de ses sites.

En parallèle, la production générée par les planteurs industriels et les planteurs villageois participe progressivement à améliorer la sécurité alimentaire de ces régions et sous régions.

  • Au Cameroun par exemple, la Socapalm a notamment pour mission d’assurer une autosuffisance des besoins en huile végétale pour le pays. Aujourd’hui, elle assure 50% de la production nationale estimée et qu’elle revend intégralement sur le marché local à un prix fixé par le gouvernement.

Et, contrairement à l’image donnée dans cet article, la Socapalm, filiale du Groupe Socfin au Cameroun, travaille au quotidien pour que ses activités de production d’huile de palme et de caoutchouc soient bénéfiques à tous : ses employés, les planteurs villageois et les communautés, en améliorant leurs conditions de vie. Cela fait partie intégrante de la mission que le Groupe Socfin s’est fixé : créer ou relancer le développement socio-économique à long terme des régions rurales enclavées, tout en renforçant et en protégeant les droits des communautés, leur qualité de vie et l’environnement.

Cliquez ici, pour plus d’information sur la démarche de développement durable de la Socapalm au Cameroun.

Communiqué PDF – 2021 06 10 Prise de Position Socapalm – TIJD